souvenirs d'un amour imparfait

Je ne sais le pourquoi, le pour qui,
Il fallait que j’écrive cet étrange sentiment
Venu de je ne sais où,
Il entra dans mon cœur
Se nicha dans ma vie,
Ce fut comme une secousse
Comme un long tremblement,
S’en suivit une frénésie optique,

Je le voyais partout
Il mangeait à ma table
Se mirait dans ma glace,
Il couchait dans mon lit
Entrait dans mes bagages
Se chauffait à mon feu,

J’avais beau fermer les yeux,
Il était sous mes paupières
Se promenait sur ma bouche
Et le long de mon corps,
Il marchait sur mes traces
S’asseyait à ma place
Il buvait à ma tasse
Se baignait dans mon eau,

Il était de ces nuages qui cachent
Le ciel bleu,
Il était de ces entraves qui brisent
Une vie en deux,
Quand il prit possession de mon âme
Je croyais au soleil aux mystères
Aux étoiles et en Dieu,
Il mentait comme un venin respire

Il était mon soleil, devenu ma prison
Il était mon miellat devenu mon poison
Il était ma raison devenu ma folie
Je n’ai jamais pu oublier son nom.

Maryzou

Bonne journée bisous à tout le monde

il y a des etres qui ne font que passer après avoir marqué une vie au fer rouge
bisou et bon we

Merci à toi Anita

Combien d'entre nous sont dans le cas ... je n'ose l'imaginer...

bisous et bon weekend aussi, il s'annonce pas très gai avec toute cette pluie... heureusement je suis bien chez moi avec tous mes amis et amies de la toile

Amitié +++

bisous
Marie:-)

tu ne t'es pas assez méfiée tu es si gentille et il en a profité beaucoup de femmes se font avoir tu as raison
bises
raymonde

Dieu que c'est Beau Marie! c'est vraiment très bien écrit je suis scotchée
gros bisous ma belle

dommage que je n'arrive pas encore à écrire sur des thèmes plus joyeux... j'ai beau essayer mais tout vire à la cata...

Millier de gros bisous à toi aussi...
PS le site est en coup de coeur... j'espère que cela portera ses fruits

cela viendra d'écrire autre, ne t'inquiète pas
merci d'avoir mis en lien mon site est souvent squatté héhé
gros bisous

Il était de ces nuages qui cachent
Le ciel bleu,
Il était de ces entraves qui brisent
Une vie en deux,
Quand il prit possession de mon âme
Je croyais au soleil aux mystères
Aux étoiles et en Dieu,
Il mentait comme un venin respire

Je crois que la plus grande force du "diable" est de faire croire qu'il n'existe pas tout en prenant un certain temps les traits de l'ange : plus dure et plus souffrante encore est la chutte ; il faut des années pour guérir et réaliser qu'au fond , la meilleure chose qui soit arrivée est le départ de ces êtres ... mais que de larmes ou de serrements de dents avant que d'en arriver là.

bises

didier