Ta plume légère dessine bien les contours de l'espace intérieur où s'est nichée une aspiration intense à la douceur de vivre.
Voilà qui me ramène à l'époque où je lisais les Rêveries du promeneur solitaire de Rousseau, assis sous un arbre et baigné par le soleil de midi...
Ces deux vers sont très bien construits :
Rêver d'errance
et de Ravelana
Magie des assonances et des allitérations...
didier