L’IMMENSITE DE L’OCEAN
Le ciel d’un bleu velouté
Dans la mer d’huile, reflété
Se noyait à l’horizon
Créant un abîme sans fond.
Le soleil incandescent
Sur les crêtes de l’océan
Se brisait devant nos yeux
Le parant de mille feux.(bis)
L’immensité de l’océan
Sur lequel nous voguions
Nous faisait espérer une terre
Que l’on ne soit plus crève misère.(bis)
Une brise marine
A l’odeur sibylline
Nous emportait dans sa main
Vers des rivages lointains.
Sur la vaste immensité
Fendants les flots irisés
L’étrave creusait son chemin
Vers l’avenir incertain.(bis)
L’immensité de l’océan
Sur lequel nous voguions
Nous faisait espérer une terre
Que l’on ne soit plus crève misère.(bis)
Le survol d’un goéland
A l’ombre de nos haubans
Promettait la terre
Sur cette mère austère.
Au loin la langue brune
Notre bonne fortune
Montrait le havre de paix
Une île selon nos souhaits.(bis)
De cocotiers bordée
Une plage dorée
Etreignait un lagon bleu
Qui se mirait dans les cieux.
MIS EN MUSIQUE PAR LOUIS MARIE WINTGENS/GUMINSKI Y et EDEN BLU